On a tendance à calquer l'identité visuelle animée sur l'identité traditionnellement entendue comme provenant du "print".

C'est légitime pour des raisons de cohérence.

Mais les codes en vigueur dans l'audiovisuel ont plutôt tendance à indiquer qu'il faut savoir s'éloigner du print, et se lancer dans une véritable création ! Aussi la version "jingle" d'une charte gagne-t-elle a prendre quelque liberté : car au bout du compte, toute son astuce cosiste à nous raconter une histoire, nous faire ressentir une émotion, en seulement quelques "frames" : et c'est une histoire qui se termine forcément toujours bien - on retrouve forcément le logo d'origine.

Notre conviction :
Il faut dans la version audiovisuelle d'une charte graphique complètement repenser sa dynamique et son positionnement. La piste audio participe aussi fondamentalement de l'émotion, et il faut autant que faire se peut éviter les jingles "libres de droit" : en profiter pour réfléchir au positionnement de la marque grâce à ce support qui bouleverse les règles du branding 2D. En somme, on a le droit de prendre des risques dans la création d'une charte audiovisuelle : vous disposez du poarfait alibi, le droit